💬 Dire NON au travail : pourquoi est-ce si difficile ?

Vous vous êtes déjà retrouvé à dire « oui » à une tâche que vous n’aviez ni le temps, ni l’envie, ni les compétences de faire ? À accepter une demande de votre manager ou d’un collègue, alors que tout en vous criait « non » ? 😩

👉 Si cela vous parle, sachez que vous n’êtes pas seul(e). Beaucoup de personnes vivent la même chose. Et ce n’est pas seulement une question de volonté, c’est souvent bien plus profond que ça.

✨ Voici les raisons principales qui rendent le « NON » si difficile à dire :

🔹 La peur
On redoute le jugement (« je vais passer pour quelqu’un de pas sympa »), la sanction (« et si mon chef me le reprochait ? »), ou encore le conflit (« je préfère éviter les tensions »). Cette peur des conséquences est un frein énorme.

🔹 Les croyances inculquées dès l’enfance
On nous a appris à être gentils, respectueux, à obéir à l’autorité. Résultat : dire non nous paraît malpoli, irrespectueux, ou même dangereux. Dans notre tête, refuser, c’est désobéir. Et au travail, ça devient un tabou.

🔹 Le syndrome de l’imposteur
On se dit qu’on n’a pas le droit de dire non, parce qu’on ne se sent pas légitime, pas assez compétent ou pas à notre place. On admire ceux qui savent poser leurs limites, mais on se dit qu’on ne peut pas se permettre la même chose sans en payer le prix.

🔹 L’hyper-empathie
Quand on nous demande de l’aide, on pense tout de suite que l’autre est dans le besoin. On veut le soulager, le soutenir, être là pour lui. Alors, même fatigué(e), débordé(e), ou pas du tout qualifié(e), on accepte. Par bienveillance. Par loyauté. Par peur de décevoir.

🧠 Ces blocages sont puissants, mais les identifier, c’est déjà commencer à s’en libérer.
Et si vous commenciez, doucement, à déconstruire ces croyances ? À dire non sans culpabiliser ?
Parce que poser ses limites, ce n’est pas être égoïste : c’est se respecter. Et c’est aussi mieux respecter les autres. 💪

👉 Vous vous reconnaissez dans ces situations ?

Je propose un ATELIER de 2h : « Apprendre à dire NON et poses des limites «